CCRm : comment faciliter la résécabilité ?
Les malades souffrant d'un CCRm (RAS sauvage) chez qui une "fonte tumorale" rapide s'impose (pour des raisons notamment chirurgicales), doivent bénéficier en première intention d'un traitement combinant bichimiothérapie et anti-EGFR. Pourquoi une telle association ? Parce qu'elle conduit à une amélioration importante (de plus de 10%) du taux de réponse objective, et permet une réponse thérapeutique à la fois plus profonde et plus rapide.
Quelles sont à l'heure actuelle les modalités de la chimiothérapie intra-artérielle hépatique (CIAH), éventuellement combinée aux anti-EGFR (cétuximab) intraveineux ?
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