Parkinson et pompes à apomorphine (I) : pourquoi ?
Chez les malades parkinsoniens, l'injection continue en sous-cutanée (à l'aide d'une mini-pompe) d'apomorphine (molécule de synthèse proche de la dopamine) se révèle à la fois efficace (important bénéfice moteur) et bien tolérée (profil de tolérance superposable à celui de la lévodopa).
Ces bons résultats font qu'en Bretagne (région leader en ce domaine) la pompe à apomorphine, initialement employée en alternative puis en attente de la chirurgie, se voit aujourd'hui volontiers prescrite à la place de celle-ci.
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