VIH+ et conduites à risque : faut-il parler ou se taire ?
En présence d'un patient contaminé par le VIH qui présente des "conduites à risque", quelle attitude doit avoir le médecin ? Cette situation complexe - conflit de droits entre le secret médical et la protection des personnes - n'a pas de solution simple et acquise.
Il faut poser le débat, ne pas violer (dans l'immédiat) le secret (afin de conserver la confiance du patient), responsabiliser le malade (plutôt qu'interdire), prendre du recul pour analyser les faits... puis "trancher" ! Si le médecin estime en conscience qu'il n'y a pas d'autre chose à faire que de transgresser l'interdit... il faut en parler aux proches du malade, afin que ceux-ci puissent se protéger !
Il faut poser le débat, ne pas violer (dans l'immédiat) le secret (afin de conserver la confiance du patient), responsabiliser le malade (plutôt qu'interdire), prendre du recul pour analyser les faits... puis "trancher" ! Si le médecin estime en conscience qu'il n'y a pas d'autre chose à faire que de transgresser l'interdit... il faut en parler aux proches du malade, afin que ceux-ci puissent se protéger !