ICD : une pathologie souvent "difficile à vivre" !
L'infection à Clostridium difficile (ICD) a fréquemment un fort retentissement sur le vécu et la qualité de vie des malades hospitalisés. A cela essentiellement deux raisons : les douleurs abdominales et la diarrhée sévère... qui s'accompagnent volontiers, notamment chez les personnes âgées, d'impériosité voire d'incontinence, mais aussi le fait que le patient s'estime fréquemment isolé, si ce n'est parfois exclu.
Comment remédier à cela ? Par une prise en charge à la fois nutritionnelle, symptomatique et antibiotique... précoce (ce qu'autorisent aujourd'hui les tests immunologiques), et dans la mesure du possible, quand le patient est institutionnalisé, le transfert du malade vers une équipe de soignants rompue à ce genre d'exercice, à savoir dans un service hospitalier spécialisé.
Comment remédier à cela ? Par une prise en charge à la fois nutritionnelle, symptomatique et antibiotique... précoce (ce qu'autorisent aujourd'hui les tests immunologiques), et dans la mesure du possible, quand le patient est institutionnalisé, le transfert du malade vers une équipe de soignants rompue à ce genre d'exercice, à savoir dans un service hospitalier spécialisé.
Le Projet est réalisé en toute indépendance, sous la seule responsabilité des auteurs, du coordonnateur et du directeur de la publication, qui sont garants de lobjectivité de ces communications. Les points de vue et opinions exprimés dans ces vidéos sont ceux des auteurs, de ce fait la responsabilité des laboratoires ne saurait en aucun cas être engagée.